L e --------- RÉVÉLATION -------P r o j e t -----------PART 2

Publié le par energie-libre

Après le premier événement en Oregon, je rentrai chez moi et en parlai à mon père. Il était "bleu,

blanc, rouge" de la tête aux pieds, un vétéran de la deuxième guerre mondiale patriotique au dernier

degré... Je lui parlais de ces OVNI que l'on voyait régulièrement et il me répondit: "Non, le

gouvernement dit que ce ne sont pas des OVNI". Je lui répliquai que je les avais vus de mes propres

yeux sur l'écran radar, et lui: "Allez! Le gouvernement ne me mentirait pas..." Vous voyez... Il y avait

en face de lui son fils... Jamais je ne lui mentirais.

Il ne savait plus quel parti prendre... Jusqu'à des années plus tard, après le Watergate: "Hola! Viens

t'asseoir et raconte-moi ton histoire. Ils m'ont menti pour une bricole comme le Watergate, alors pour

une grosse affaire comme celle-là..."

C'est un camouflage du gouvernement qui ferait mieux de ne pas exister. Il n'y a plus de guerre

froide...

Je suis de l'avis du docteur Greer, que la technologie qu'ils ont pourrait nous permettre de stopper

l'utilisation des carburants fossiles, arrêter les dommages à la couche d'ozone, etc... Ils ont la

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technologie nécessaire. Et le gouvernement est au courant. Ils ont ces extraterrestres, ces vaisseaux

spatiaux, la technologie, tout... Qui sont-ils pour camoufler cela alors les autres gouvernements

soulèvent le voile, admettent, montrent leurs fichiers... Pourquoi pas notre gouvernement?

Franklin Carter

Technicien Radar US Navy

Ils ne voulurent absolument pas que quiconque apprenne quoi que ce fut de ce que nous avions vu.

C'était le début du camouflage... Camouflage devenu incontrôlable.

Mais je sais que le seul peuple qui a gardé le secret jusqu'à aujourd'hui est le peuple américain. Tous

les autres peuples savent et acceptent. Et tous les gouvernements aussi (excepté l'Angleterre)

acceptent cela.

Neil Daniels

Pilote chez United Airlines

Dans le passé, les pilotes qui avaient vu "quelque chose" et en avaient parlé étaient mis sur la touche.

Certains furent interdits de vol et traités comme des "rien du tout"... C'est pour ça que je n'en ai plus

parlé pendant de si longues annnées.

Lieutenant Frederick Fox

Pilote de l'US Navy

On trouve dans la publication JANAP 146 E une section interdisant la révélation de toute information

concernant des phénomènes OVNI sous peine d'une amende de 10.000$ et de dix ans de prison. Il

est donc évident que, quelle que soit votre expérience, vous ne tentiez pas de transgresser le secret

sans leur permission.

La question ne s'est jamais posée avec le contrôle aérien. Mais dans aucun cas je n'aurais ouvert la

bouche. Il y avait un capitaine, Pete Killian, qui avait écrit quelque chose là-dessus dans un livre

traitant du sujet OVNI. Il avait été pilote sur les lignes américaines dans les années 50 et avait

témoigné devant une commission sénatoriale avoir été témoin à plusieurs reprises de phénomènes

OVNI. Un autre capitaine avait, lui, pris une photo d'un OVNI au-dessus de l'aile de son avion. Tous

deux, bien sûr, ont été littéralement ridiculisés. Je n'ai jamais eu envie de suivre ce chemin. Aussi,

n'ai-je jamais rien déclaré au FAA (Federal Aviation Administration - Bureau Fédéral de l'Aviation) ni

aux militaires. Beaucoup de pilotes ne voulaient pas être impliqués là-dedans à cause des pressions

et du ridicule qu'ils auraient à subir. Aussi le secret a-t-il été bien gardé...

J'ai un ami très proche qui était pilote de B24 durant la deuxième guerre mondiale et membre de

l'OSS (Office of Stategic Services - Bureau de Service Stratégique). Il fût l'une des premières

personnes au Japon après les bombes atomiques d'Hiroshima et Nagasaki. Il a fini sur le Projet

Bluebook, 13ème section, qui, je crois est la portion top-secret de cette enquête, comme capitaine de

l'US Air force. Il est presque octogénaire maintenant, mais il est toujours en activité au grade de

Capitaine. Je ne sais pas s'il touche une solde mais je sais qu'avec tout ce temps de service il devrait

être au moins Général 3 étoiles, être dans le rang et payé en conséquence. La seule raison pour

laquelle ils l'ont gardé en service actif est de maintenir son devoir de réserve et donc de l'empêcher de

parler. Il y a certaines choses dont il ne me parlera jamais à cause de ce devoir de réserve, et ce,

malgré certaines de mes autorisations d'accès à des informations top-secrètes dans la Navy, ainsi

que des centres d'intérêt communs.

Pour quelle raison le gouvernement, ou certaines de ses agences, juge-t-il nécessaire de maintenir ce

silence, ces secrets d'un autre age. Je pense qu'il est temps pour nous d'agir, d'arrêter cette

mascarade. De faire ce pas de géant qui ferait évoluer le genre humain et lui ferait goûter tous les

fruits de la vie.

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Captaine Robert Salas

Contrôleur du Commandement Statégique Aérien de l'US Air Force

J'ai rédigé un rapport sur cet incident: c'était dans le journal que j'ai dû rendre. Quand nous nous

sommes rendus à la base nous avons été appelé au rapport, immédiatement. Dans la pièce, avec le

Commandant, il y avait un de mes amis de l'AFOSI (Air Force Office of Special Investigation - Bureau

des enquêtes spéciales de l'Aviation). Il était là, dans le bureau, avec le Commandant. Il m'a demandé

le journal, ainsi qu'un bref rapport oral, bien qu'il semblât évident qu'il en sut plus long que nous sur la

question. Nous lui fîmes tout de même une rapide relation de l'événement. A la fin il nous demanda à

tous les deux de signer un accord de non-révélation disant que c'était une information classée, que

nous ne devions la révéler à personne: ni nos collègues, ni nos épouses ou notre famille, ni même en

parler entre nous...

Bob Kominski chapeautait la commission chargée d'étudier l'échec (accompagné de tous ces

phénomènes) des essais du missile Atlas en 1964. Kominski m'a raconté dans une lettre qu'à un

certain moment, son patron lui a rapporté que l'Air Force avait dit: "Arrêtez les enquêtes; n'allez pas

plus loin et ne rédigez pas de rapport final". C'est très étrange, spécialement lorsque l'on pense que

l'état-major du CINC-SAC avait déclaré qu'il était de la plus grande importance de découvrir ce qui

s'était passé ici. Et pourtant les responsables de l'équipe d'investigation ont dû tout arrêter sans même

rédiger de rapport final.

Professeur Robert Jacobs

US Air Force

Après un article paru sur l'incident, les gens sont devenus fous. Je commençais à être harcelé au

travail. Je recevais d'étranges coups de téléphones durant la journée. La nuit, chez moi, il n'arrêtait

pas de sonner, toute la nuit parfois. Trois heures du matin, quatre heures, minuit, dix heures du soir.

Ils m'appelaient et commençaient à m'insulter. "On va pas te laisser faire, sale enculé! On va pas te

laisser faire!" .C'est tout ce qu'ils disaient. Ils gueulaient ça jusqu'à ce que je raccroche.

Une nuit quelqu'un a fait sauter ma boîte aux lettres en y fourrant un paquet de feux d'artifices. La

boîte s'est volatilisée en flammes. Puis vers une heure le téléphone a sonné. Je décroche et quelqu'un

me dit: "Tu as vu le feu d'artifice dans ta boîte? Quel beau spectacle, sale enculé!"

Et ça continue encore de temps en temps, depuis 1982...

Je crois que tous ces illuminés que l'on trouve autour de la question extra-terrestre font partie d'un

effort concerté pour écarter toute étude sérieuse. A chaque fois que quelqu'un essaye d'étudier le

sujet sérieusement, il est complètement ridiculisé. Je suis un professeur à part entière dans une

université importante. Mais je suis certain que mes collègues se moquent de moi, disent les pires

choses quand ils savent que j'étudie les phénomènes extraterrestres, et ce n'est qu'un aspect de cette

réalité qui nous entoure.

Savoir ce qui est arrivé au film est une histoire intéressante en elle-même comme le major Mansmann

le raconta, à moi et à d'autres. Quelques temps après que je sois parti, des gars en civil, je pensais à

la CIA mais il m'affirma que non, prirent le film, débobinèrent la partie qui montrait l'OVNI, la coupèrent

aux ciseaux pour la mettre sur une autre bobine qu'ils rangèrent dans leur attaché-case. Ils ont rendu

le reste au Major Mansmann et lui dirent: " Nous n'avons pas besoin de vous rappeler, Major, la

gravité d'une brèche dans la sécurité; nous considérons cet incident clos". Puis ils sortirent avec le

film: le Major Mansmann ne l'a jamais revu.

Harry Allen Jordan

US Navy

Un lieutenant-colonel que je ne connaissais pas très bien vint et me dit: "Qu'est-ce qui se passe

Jordan? Qu'est-ce que vous avez mis dans votre livre de bord?" Il ajouta: "Vous n'avez pas besoin de

mettre ça là-dedans".

Maintenant il est très difficile, très difficile pour moi d'écrire ça, particulièrement sur le livre de bord

d'un navire. J'avais eu des contacts visuels et j'avais commencé à écrire le mot "OVNI".

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James Kopf

US Navy, service cryptographie

Quelques jours après le Commandant et son second firent une brève allocution sur le réseau de

télévision interne du bord. C'était la seule manière de s'adresser à l'ensemble des 5000 hommes

d'équipage. Le Commandant regarda la caméra et dit, je n'oublierai jamais cela, "J'aimerais rappeler à

l'équipage que certains événements qui se produisent à bord d'un vaisseau de guerre sont considérés

comme confidentiels et ne devraient pas être abordés avec quiconque sans raison valable". Il ne dit

que cela.

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Témoignages de Faits et d'Engins Extraterrestres

Tour d'Horizon

Astronaute Edgar Mitchell

mai 1998

En février 1971 l'astronaute Edgar Mitchell effectua un vol sur Apollo 14 a fut le sixième homme à

poser le pied sur la Lune. Dans son témoignage, il reconnût le fait que des visites extraterrestres

furent effectuées sur la Terre aussi bien que des vaisseaux accidentés ou des découvertes d'outils ou

de corps. Il parla aussi de la dissimulation qui a entouré le sujet depuis plus de cinquante ans et le

manque d'attention et de contrôle visible du gouvernement. Il est préoccupé par notre intendance de

cette Terre et voit comme une vérité notre crise environnementale croissante.

Monseigneur Corrado Balducci

septembre 2000

Monseigneur Balducci est un théologien membre du Vatican et proche du Pape. Il est apparu un

grand nombre de fois sur la télévision nationale italienne, déclarant que les contacts avec des

extraterrestres sont une réalité, et non pas un phénomène que l'on pourrait imputer à la détérioration

du psychisme de certains infdividus. Il témoigne et explique que ce phénomène est de plus en plus

accepté en tant que réalité, non seulement par la populace mais par des personnes cultivées, érudites

et crédibles à tous points de vue. Il a l'habitude de présenter les extraterrestres comme des êtres qui

font partie de la Création divine et qui ne sont ni des anges ni des démons, bien qu'ils soient

probablement d'une essence spirituelle plus évoluée que la nôtre.

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CENTRAL INTELLIGENCE AGENCY

WASHINGTON D.C.

OFFICE OF THE DIRECTOR

000014

Memorandum A: Directeur du "Psychological Strategy Board" (Conseil de

Stratégie Psychologique)

Sujet: Soucoupes Volantes

1. Je transmets aujourd'hui au National Security Council (Conseil de

Sécurité Nationale) une proposition (TAB A) dans laquelle il est conclut

que les problèmes rencontrés avec des objets volants non-identifiés

semblent avoir des implications pour une guerre psychologique ainsi que

pour les services de renseignements et les opérations.

2. Les informations concernant cette opinion sont présentées en détail dans

le TAB B.

3. Je suggère que nous discutions, à une prochaine réunion du Conseil, la

possible utilisation offensive ou défensive de ces phénomènes à des fins de

guerre psychologique.

Walter B. Smith

Directeur

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Memorandum à l'attention du Directeur de la Central Intelligence

Envoyé à l'Adjoint du Directeur de la Central Intelligence

Sujet: Objets Volants Non Identifiés

Date: février 1952

1. Le 20 août, la DCI, après un briefing par la OSI sur le sujet

susmentionné, a dirigé la préparation d'une NCSID devant être soumise au

Conseil relatant le besoin d'effectuer une enquête et d'ordonner aux

agences concernées de coopérer dans de telles enquêtes.

2. Dans la tentative de rédiger une telle directive et les études pour les

membres du personnel, il est devenu évident à DD/I, AD/SI en fonction et

AD/IC, que le problème était plus largement un problème de recherche et

développement, et il a été décidé par DD/I d'essayer d'initier une action à

travers le Conseil de Recherche et Développement (CR&D). Une conférence a

été tenue entre DI/USAF, le Président du CR&D, le DD/I, AD/SI en fonction

et AD/IC, à laquelle il a été décidé que le Dr. Whitman, Président du CR&D,

enquêterait sur la possibilité d'entreprendre des études de recherche et

développement à travers les agences de l'Air Force.

3. Le 6 novembre approximativement, nous avons été avisé par le Président

du CR&D que les requêtes auprès des membres du personnel de l'Air Force

n'ont pas révélés de faits "non fondés" concernant cette affaire, mais que

ces requêtes avaient été soumises à l'Air Defense Command. Nous n'avons

reçu aucun message supplémentaire de la part du CR&D.

4. Des rapports récents adressés à la CIA indiquent qu'une action

supplémentaire était souhaitée et qu'un autre briefing avait eu lieu le 25

novembre entre les membres du personnel de A-2 et ATIC ayant connaissance

de l'affaire. A ce moment-là, les rapports des incidents nous convainquent

que quelque-chose est en train de se passer et que cela mérite tout notre

attention. Les détails de certains de ces incidents ont été sujets à

discussion entre AD/SI et DDCI. Des observations d'objets inexpliqués à

hautes altitudes et se déplaçant à de très grandes vitesses dans le

voisinage des plus importantes installations de défense américaine sont

d'une telle nature qu'ils ne peuvent pas être attribués à des phénomènes

naturels ou à des types connus de véhicules aériens.

5. OSI procède pour l'instant à la constitution d'un groupe de consultation

suffisamment compétent et reconnu afin de réétudier cette affaire et de

convaincre les autorités responsables dans la communauté que des études de

recherche et développement sur le sujet doivent êtres entreprises. Ceci

peut être fait rapidement sous la tutelle de CENIS.

6. Ci-joint vous trouverez un essai de memorandum adressé au NSC (National

Security Council - Conseil National de Sécurité) et une simple directive du

NSC établissant cette affaire comme étant un projet prioritaire dans toute

la communauté des renseignements, de la recherche et du développement de la

défense.

H. Marshall Caldwell

Adjoint au Directeur de la Scientific Intelligence

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Date: 29 juillet 1952

A: Mr. A.H.H. MONT

De: V.P. KEAY

Sujet: Soucoupes Volantes

OBJECTIF

Informer que l'Air Force a, pour l'instant, échoué dans le fait d'arriver à

une conclusion satisfaisante dans sa recherche à propos des nombreux

rapports de soucoupes volantes et disques volants aperçus à travers tous

les Etats-Unis.

DETAILS

Mr. N.W. Philcox, Représentant du Bureau de Liaison de l'Air Force, a

conclut des arrangements à travers le bureau du Major Général John A.

Samford, Directeur de l'Air Intelligence, US Air Force, afin de recevoir un

briefing du Commandant Randall Boy de la Current Intelligence Branch,

Division "Evaluation', Air Intelligence, concernant le statut actuel de la

recherche au sujet de l'Air Intelligence sur les nombreux rapports se

rapportant aux soucoupes volantes et disques volants.

Le Commandant Boyd relata que l'Air Intelligence avait installé à la Base

Air Force de Wright Patterson, Ohio, le Centre Technique de l'Air

Intelligence, qui a été établi dans le but de coordonner, corréler et faire

des recherches sur tous les rapports concernant les soucoupes et disques

volants. Il mentionna que la recherche l'Air Force a indiqué que les

observations de soucoupes volantes se font depuis plusieurs siècles et que

le nombre d'observations rapportées varient selon la quantité de publicité

faite autour. Il déclara que si l'observation est publiée dans les

journaux, immédiatement le nombre d'observations rapportées augmente

considérablement et que les citoyens appellent immédiatement et témoignent

d'observations qu'ils ont eues plusieurs mois auparavant. Le Commandant

Boyd précisa que ces observations rapportées de soucoupes volantes sont

triées selon trois classifications:

1. Ces observations qui sont rapportées par des citoyens qui clament avoir

vu, depuis le sol, des soucoupes volantes. Ces observations varient dans

leur description, couleur et vitesse. Peu de créance est apportée à ces

déclarations, qui sont pour certaines, voire toutes, dues à l'imagination

ou encore à un quelconque objet ayant traversé le ciel.

2. Observations rapportées par des pilotes commerciaux ou militaires.

Celles-ci sont considérées comme plus crédibles par l'Air Force dans la

mesure où les pilotes commerciaux et militaires sont expérimentés dans

l'aéronautique et ne sont pas supposés voir des objets qui sont totalement

imaginaires. Dans chacun de ces cas, l'individu qui rapporte l'observation

est interviewé en profondeur par un représentant de l'Air Intelligence si

bien qu'une complète description de l'objet observé peut être obtenue.

3. Ces observations qui sont rapportées par des pilotes et pour lesquelles

il y a une corroboration additionnelle, tel qu'un enregistrement radar ou

observation depuis le sol. Le Commandant Boyd déclara que cette dernière

classification constitue 2 ou 3 % du nombre total d'observations, mais que

ce sont les rapports les plus crédibles et les plus difficiles à expliquer.

Certaines de ces observations sont d'abord effectuées à partir du sol,

ensuite sont observées par des pilotes en vol et alors sont prises en

chasse par des radars. Il mentionna que dans ces cas, il n'y a aucun doute

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que les individus rapportent les observations qu'ils ont effectivement eues

dans le ciel. Cependant, il expliqua que ces objets pourraient quand même

être des phénomènes naturels et être enregistrés sur radar si il y avait

une quelconque discordance électrique dans le ciel.

Il déclara que les soucoupes volantes sont plus fréquemment observées dans

des zones où il y a un trafic aérien dense, comme Washington D.C. et New

York City. Il mentionna, cependant, que quelques rapports proviennent

d'autres parties du pays, voir le territoire entier des Etats-Unis et que

des observations ont aussi été rapportées en provenance de lieux éloignées

tels que Acapulco, Mexico, Corée et Maroc Français. Il raconta que les

observations mentionnées dans la dernière classification n'ont jamais été

expliquées de manière satisfaisante. Il a précisé, néanmoins, qu'il était

toujours possible que ces objets soient des phénomènes naturels ou quelque

type de perturbations atmosphériques. Il déclara qu'il n'était pas tout à

fait impossible que les objets aperçus puissent êtres des vaisseaux d'une

autre planète, comme Mars. Il dit que jusqu'à présent il n'existe rien pour

accréditer cette théorie mais la possibilité n'est pas mise de côté. Il

mentionna que l'Air Intelligence est pratiquement certaine que ces objets

ne sont pas des vaisseaux ou des missiles en provenance d'autre nation de

ce monde. Le Commandant Boyd déclara qu'une enquête intensive est en ce

moment-même menée par l'Air Intelligence et que jusqu'à présent quand des

observations crédibles sont reçues, l'Air Force tente à chaque fois de

lancer un jet d'interception afin d'obtenir une meilleure vision de ces

objets. Cependant, de récentes tentatives dans cette voie ont indiqué que

quand le pilote du jet approche de l'objet, celui-ci disparaît de sa vue.

RECOMMANDATION:

Aucune. Ce qui précède est pour votre information.

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Memorandum pour le Directeur de la Central Intelligence

Envoyé à l'Adjoint du Directeur

Sujet: Soucoupes volantes

Date: 24 Septembre 1952

1. Récemment, une enquête à été menée par le Bureau de l'Intelligence

Scientifique afin de déterminer si il y avait des implications de sécurité

nationale concernant le problème des "objets volants non-identifiés", à

savoir les soucoupes volantes; si une étude adéquate et une recherche

étaient en cours sur le sujet ayant pour sujet la relation de celui-ci avec

des implications sur la sécurité nationale; et quelles enquêtes et

recherches ultérieures devraient être effectuées, par qui et sous quelle

égide.

2. Il a été découvert que la seule unité du Gouvernement actuellement à

l'étude de ce problème est le Directoire de l'Intelligence, USAF, qui a

chargé le Centre Technique de l'Air Intelligence (ATIC) d'effectuer des

enquêtes sur les rapports d'observations. A l'ATIC, il y a un groupe de 3

officiers et 2 secrétaires chez qui arrivent, à travers les réseaux

officiels, tous les rapports d'observations. Ce groupe conduit l'enquête

sur les rapports en consultation avec des membres du personnel technique de

l'Air Force et du civil, comme il avait été demandé. Un système mondial de

rapport a été institué et certaines des plus importantes bases de l'Air

Force ont été ordonnées d'intercepter des objets volants non identifiés.

l'enquête est menée au cas-par-cas et est destinée à produire une

explication satisfaisante de chaque observation individuelle. l'ATIC a

conclut un accord avec le Battelle Memorial Institute afin que ce dernier

puisse créer une machine au système indexant les rapports officiels

d'observations.

3. Depuis 1947, l'ATIC a reçu approximativement 1500 rapports officiels

d'observations ainsi qu'un énorme volume de lettres, appels téléphoniques

et articles de presse. Pendant le seul mois de juillet 1952, un total de

250 rapports officiels a été recensé. Sur les 1500 rapports, l'Air Force

compte 20% de faits non-expliqués et sur ceux reçus entre janvier et

juillet 1952 il y a 26% de cas non-expliqués.

4. Dans son enquête sur le problème, une équipe du Bureau de l'Intelligence

Scientifique de la CIA a consulté un représentant du Groupe d'Etudes

Speciales de l'Air Force; discuté avec les personnes en charge du Projet

Air Force à la Base de l'Air Force de Wright-Patterson; revu un volume

considérable de rapports de renseignements; vérifié avec la presse

Soviétique et les services de diffusion; et a discuté avec trois

consultants de la CIA qui ont des connaissances larges des domaines

techniques concernés.

5. Il a été conclut que l'étude de l'ATIC est probablement valide si le

sujet est limité à une explication au cas-par-cas. Cependant, cette étude

ne résout pas les aspects les plus fondamentaux du problème. Ces aspects

doivent déterminer définitivement les phénomènes variés qui sont à

l'origine de ces observations et découvrir les moyens par lesquels cellesci

sont produites, et leurs effets visuels ou électroniques, peuvent être

identifiés immédiatement. Les consultants de la CIA ont déclaré que ces

solutions seraient probablement trouvées aux limites ou juste au-delà de

nos connaissances actuelles concernant les phénomènes atmosphériques,

ionosphériques et extraterrestres, avec la possibilité supplémentaire du

fait que la dispersion actuelle de déchets nucléaires puisse aussi être un

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facteur. Ils recommandèrent qu'un groupe d'étude soit formé afin de remplir

ces trois fonctions:

a. analyser et systématiser les facteurs qui constituent le problème

fondamental;

b. déterminer les domaines fondamentaux de la science qui doivent être

approfondis afin de rechercher une compréhension du phénomène impliqué; et

c. faire des recommandations sur le début d'une recherche appropriée.

Le Dr. Julius A. Stratton, Vice Président du Massachussetts Institute of

Technology, a indiqué à la CIA qu'un groupe pourrait être créé à

l'Institut. Similairement, le Projet Lincoln, projet au ITT de défense

aérienne de l'Air Force, pourrait être mené avec le même sens des

responsabilités.

6. Le sujet des soucoupes volantes contient deux éléments dangereux qui,

dans une situation de tension internationale, pourrait avoir des

implications sur la sécurité nationale. Ces éléments sont:

a. Psychologique - Avec l'aide des rapports d'observations à travers le

monde entier, il a été prouvé que, pendant le temps de l'enquête, il n'y a

eu dans la presse Soviétique aucun rapport ou commentaire, même satirique,

de soucoupes volantes; bien que Gremyko ait fait une mention humoristique

sur le sujet. Avec une presse contrôlée par l'Etat, ceci ne peut résulter

que d'une décision politique officielle. La question est dès lors de savoir

si oui ou non les observations:

(1) peuvent être contrôlées

(2) peuvent être prévues, et

(3) peuvent être utilisées, dans le cas d'une guerre

psychologique, offensivement ou défensivement.

L'intérêt public pour le phénomène, qui est confirmé dans la presse

américaine et dans la pression sur l'Air Force pour obtenir une enquête,

indique qu'une proportion non négligeable de notre population est

mentalement conditionnée à l'acceptation de l'incroyable. Dans ce fait

réside le potentiel pour le déclenchement d'une hystérie et d'une panique

massive.

b. Vulnérabilité aérienne - Le Système d'Alerte Aérienne des Etats-Unis

dépendra inévitablement et toujours d'une combinaison de suivis radars et

d'observations visuelles. l'U.R.S.S. est considérée comme étant

actuellement capable de lancer une attaque aérienne sur les Etats-Unis, à

n'importe quel moment; il peut y avoir des douzaines d'observations

officielles ainsi que plusieurs observations non-officielles. A n'importe

quel moment de l'attaque, nous sommes à l'heure actuelle incapable de

distinguer instantanément une réelle arme ou un leurre, et alors que la

tension monte, nous prenons le risque croissant de subir de fausses alertes

et même de prendre une attaque réelle pour un leurre.

7. Chacun de ces problèmes sont par essence opérationnels et présentent des

facteurs flagrants d'intelligence.

8. d'un point de vue opérationnel, les actions suivantes sont requises:

a. Des actions immédiates devraient être prises afin d'améliorer

l'identification autant visuelle qu'électronique des leurres pour que, en

cas d'attaque, une identification instantanée et positive d'avions ou

missiles ennemis puisse être faite.

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b. Une étude doit être menée afin de déterminer quelle utilisation, si il

en existe, pourrait être donnée par les organisateurs américains d'une

guerre psychologique à partir de ces phénomènes et quelles défenses, si il

en existe, devraient être organisées afin d'anticiper des éventuelles

tentatives soviétiques d'utilisation de ces phénomènes.

c. Afin de minimiser le risque de panique, une politique nationale

devrait être établie concernant ce qui devait être dit au public à propos

de ces phénomènes.

9. d'autres problèmes de renseignements qui requièrent approfondissement:

a. Le niveau actuelle de connaissance des soviétiques à propos de ces

phénomènes.

b. Des possibles intentions et capacités des soviétiques d'utiliser ces

phénomènes au dépend des intérêts américains.

c. La raison du silence dans la presse soviétique concernant les

soucoupes volantes.

10. Une recherche supplémentaire, différente de celle menée par l'Air Force

en ce qui concerne son sens et sa particularité, sera nécessaire afin de

satisfaire les besoins opérationnels et de renseignements. Les

responsabilités de l'Intelligence, dans cette enquête concernant le

rassemblement et l'analyse des faits, ne pourront être déchargées qu'après

avoir déterminé d'une manière exacte la nature des phénomènes.

11. Je considère ce problème d'une telle importance qu'il devrait être

mentionné au Conseil National de Sécurité afin qu'une action à travers tous

les membres de la communauté soit entreprise.

E. MARSHALL CHADWELL

Assistant du Directeur de la Scientific Intelligence

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Contrôleurs Radar et Pilotes

Introduction

Cette partie de témoignages traite spécifiquement de rencontres avec des pilotes, des cas radars et

de cas similaires. On devrait souligner que pendant des décennies, les gens qui étaient sceptiques

par rapport au sujet OVNI ont déclaré que si ces objets étaient réels, ils auraient été suivis sur radar.

Nous n'avons pas moins de 20 témoins de l'Air Force, des Marines, de la Navy, de l'Army et des

autorités civiles des Etats-Unis et de l'étranger et qui sont des contrôleurs aériens qualifiés et des

pilotes qui ont vu et suivis ces objets sur radar. Notez s'il vous plaît que ces personnes soulignent bien

que ces objets n'étaient pas des ballons météos; ce n'était pas des inversions; ce n'était pas des gaz

des marais. C'était des engins structurés volant souvent à des milliers de kilomètres/heure, s'arrêtant

soudainement, volant d'une manière non linéaire. Ces objets ont été suivis (au radar, Ndt), parcourant

d'un point à l'autre des centaines de kilomètres ou plus durant le temps d'un balayage radar. Ce sont

des objets solides. Ils sont métalliques et ils donnent des retours radar forts et non ambigus.

Ce n'est pas une situation où nous avons juste un ou deux témoins, et vous devez considérer cela

très sérieusement lorsque vous évaluez l'évidence des faits: avoir plus d'une douzaine de ces témoins

sur bande magnétique témoignant que ces objets ont été suivis sur radar, et certaines fois par une

douzaine de radars les suivant en même temps, signifie que nous traitons d'engins actuels, réels,

physiques et technologiques, pas de quelque-chose d'imaginaire, pas de quelque-chose qui soit une

hallucination de masse et pas de quelque-chose qui puisse être décrit comme une sorte d'anomalie.

Comme l'a souligné le Colonel de l'Air Force Charles Brown, le projet Grudge ("rancoeur", Ndt) de l'Air

Force, depuis 1950 déjà, comportait des confirmations radar de ces objets par des radars au sol, des

observateurs au sol, des radars aéroportés et des observateurs en vol, et,"rien de mieux que ça."

Beaucoup de ces témoins ont aussi observé ces objets retournant plusieurs nuits de suite sur des

zones similaires et ont vérifié leur équipement rigoureusement pour être sûr que ce n'était pas des

défauts techniques dans le logiciel ou le matériel.

Ces faits sont bien-sûr explosifs. Le témoignage de ces témoins balaye l'argument que ces objets

n'existent pas parce-que nous avons, en plus de leur déposition, les relevés radars; nous avons de la

documentation sur ces événements; et nous avons des personnes qui ont participé à de tels

événements allant des années 1940 jusqu'au années 1990.

John Callahan

Chef de Division de la FAA, octobre 2000

Pendant 6 ans M. John Callahan était le Chef de Division de la Branche Accidents et Investigations de

la FAA (Federal Aviation Administration, Ndt) à Washington DC. Dans son témoignage, il parle du vol

d'un 747 de la Japan Airlines en 1986 qui a été suivi par un OVNI pendant 31 minutes dans le ciel de

l'Alaska. L'OVNI a aussi suivi un vol d'United Airlines jusqu'à ce que l'avion atterrisse. Il y a eu

confirmation visuelle aussi bien que confirmation radar depuis l'avion et depuis le sol. Cet événement

a été assez significatif pour que l'Administrateur de la FAA, l'Amiral Engen, tienne un briefing le jour

suivant auquel le FBI, la CIA, l'équipe d'étude scientifique du Président Reagan et d'autres ont

participé. L'évidence de la bande magnétique radar, les communications du trafic aérien et des

rapports papiers ont été rassemblés et présentés. En conclusion de ce meeting, les membres de la

CIA ont informé tout le monde présent que"ce meeting n'avait jamais eu lieu" et que"cet incident

n'avait jamais été enregistré". Ne réalisant pas qu'il existait d'autres évidences, ils ont confisqué

seulement les évidences présentées, mais M. Callahan a pu sécuriser les évidences audio et vidéo de

l'événement.

John Callahan: ...Maintenant dans les 747 ils existe un radar dans le nez qui signale le mauvais temps

au-dehors. Donc son radar accroche une cible. Il voit cette cible avec ses yeux. Et la cible, d'après la

manière dont il l'a décrite, était une gigantesque boule avec des lumières tout autour. Et je crois qu'il a

dit que c'était quatre fois plus gros qu'un 747!

Et le militaire a dit quelque-chose comme, oui, je l'ai vu à 35 miles au nord d'Anchorage...

L'OVNI rebondissait autour du 747. Et lorsqu'il disait cela, le militaire le coupait et disait, il est

maintenant à 2:00 ou 3:00 et il confirmait la position. Le contrôleur militaire a ce qu'ils appellent un

Page 42

radar sachant l'altitude, et ils ont des radars à longue et courte portée. Donc s'ils ne l'accrochent pas

avec un système, ils l'accrochent avec un autre. Et si vous écoutez le militaire, à un moment il dit, je

l'ai sur le radar d'altitude ou le radar de distance, ce qui indique qu'ils avaient une cible sur leur

système. Ils répètent cela pendant la majeure partie des 31 minutes...

Ensuite le jour suivant, j'ai reçu un appel téléphonique de quelqu'un du Groupe d'Etude Scientifique

[du Président Reagan], ou de la CIA, je ne suis pas sûr de qui il s'agissait lors du premier appel. Ils

avaient des questions sur l'incident. J'ai dit:"je ne sais pas de quoi vous parlez, vous voulez

probablement appeler l'Amiral" [l'Administrateur de la FAA Engen]. Quelques minutes plus tard,

l'Amiral m'appella et me dit qu'il a fixé un briefing le lendemain matin à 9:00."Apporte tout ce que tu as.

Amène tout le monde là-bas et donne-leur tout ce qu'ils veulent. Nous voulons sortir de cela. Laisseles

juste faire ce qu'ils veulent". Donc je suis venu avec tous les gens du Centre Technique. Nous

avions toutes sortes de boîtes pleines de données que nous avions imprimées; ça remplissait la pièce.

Ils ont fait entrer trois personnes du FBI, trois personnes de la CIA, et trois personnes de l'Equipe

d'Etude Scientifique du Président Reagan, je ne sais pas qui étaient les autres gens mais ils étaient

tous excités...

A la fin, ils ont fait jurer toutes les autres personnes dans la pièce que ce n'était jamais arrivé. Nous

n'avions jamais assisté à cette réunion. Et ça n'a jamais été enregistré.

Steven Greer: Qui a dit cela? Qui disait cela?

John Callahan: C'était un des gars de la CIA. Ok? Qu'ils n'avaient jamais été là et que cela ne s'était

jamais passé. A ce moment j'ai dit, bon je ne sais pas pourquoi vous dites cela. Je veux dire, il y avait

quelque-chose là-bas et si ce n'était pas le bombardier furtif, alors vous savez, c'est un OVNI. Et si

c'est un OVNI, pourquoi ne voudriez-vous pas que les gens le sachent? Oh, ils sont tous devenus

excité là-dessus. Tu ne veux même pas dire ces mots. Il a dit que c'était la première fois qu'ils avaient

30 minutes de données radar sur un OVNI. Et ça les démange d'y mettre leurs mains et de découvrir

ce que c'est et ce qui se passe réellement. Il dit que s'ils disent au public américain qu'ils sont tombés

sur un OVNI là-bas, cela causerait la panique dans le pays. Donc de ce fait, tu ne peux pas en parler.

Et ils sont en train de prendre toutes ces données...

Lorsqu'ils ont lu les rapports qui sont arrivés, la FAA a décidé qu'elle devait se protéger elle-même,"tu

ne peux pas dire que tu as vu une cible", même si c'est ce qu'il a dit. Donc ils lui ont fait changer son

rapport pour dire"symboles de position", ce qui ne fait pas penser à une cible. Bon si ce n'est pas une

cible, alors beaucoup d'autres symboles de position que nous repérons [sur radar] ne sont pas non

plus des cibles. Et lorsque j'ai lu cela, j'ai pensé"oh, il y a quelque-chose de louche ici, quelqu'un

s'inquiète de quelque-chose et ils sont en train d'essayer de dissimuler tout cela".

Lorsque la CIA nous a dit que ce n'était jamais arrivé et que nous n'avions jamais assisté à cette

réunion, je pense que c'était parce-qu'ils ne voulaient pas que le public sache que cela continuait.

Normalement, nous sortirions une sorte d'annonce comme quoi telle ou telle chose était arrivée...

Les seuls qui voient un OVNI dans les programmes TV sont les"rednecks" qui vont chasser les

alligators la nuit. Tu ne trouves pas d'initiés ou de professionnels qui disent"hey, laisse-moi te raconter

ce que j'ai vu la nuit dernière". Ils ne montrent pas ça aux Etats-Unis. Donc si tu dis que tu as vu un

OVNI, tu te mets toi-même dans la catégorie des simples d'esprit. C'est probablement une des raisons

pour laquelle tu n'en entends pas parler. Mais aussi loin que je suis concerné, j'ai vu un OVNI chasser

un 747 japonais à travers le ciel pendant plus d'une demi-heure sur radar. Et c'est plus rapide, d'après

ce que je connais, que n'importe quel appareil que nous possédons.

Bon j'ai été impliqué dans beaucoup de camouflages avec la FAA. Lorsque nous avons fait le rapport

au staff Reagan, j'étais derrière le groupe qui était là-bas. Et lorsqu'ils parlaient aux gens présents

dans la salle, ils ont fait jurer à tous ces gens que cela n'était jamais arrivé. Mais ils ne m'ont jamais

fait jurer que ce n'était jamais arrivé. Et cela m'ennuie toujours que nous ayons ces choses qui

continuent et, lorsque tu vois quelque-chose à la TV ou que tu entends quelque-chose à la radio, les

news, c'est dénigré comme si ce n'était pas là. Cela a été dur de ne rien dire.

Cela m'ennuie encore d'avoir vu tout cela, je sais tout cela, et je traîne cela, et personne ne veut poser

la question pour avoir la réponse. Et cela m'irrite quelque peu. Et je ne pense pas que notre

Page 43

gouvernement devrait être établi de cette manière. Je pense que lorsque nous avons quelque-chose

comme cela, nous pouvons probablement découvrir plus sur ce qu'il se passe dans le monde [mais

pas le dissimuler]. S'ils [les OVNI] peuvent voyager aussi loin, cette distance avec ce type de

machines, qui sait ce qu'ils pourraient faire ici pour la santé de la nation, des gens, la nourriture qu'ils

pourraient leur donner, les cancers qu'ils pourraient guérir. Ils doivent savoir plus de choses que nous

pour voyager à cette vitesse.

Pour les gens qui disent que si ces OVNI existaient, ils seraient un jour sur les radars et il y aurait des

professionnels qui les verraient, je peux leur dire qu'en 1986 il y avait assez de professionnels qui l'ont

vu. Cela a été apporté aux quartiers généraux, les quartiers généraux de la FAA, à Washington D.C.

L'administrateur a vu la cassette de cela. Les gens qui ont été débriefés, ils ont tous vu. L'Equipe

d'Etude Scientifique du Président Reagan, trois de ces professeurs, docteurs, ils l'ont vu. Ce sont eux

qui ont vérifié mes propres pensées au sujet de cela. Ils étaient très, très excités au sujet des

données. Ils ont dit que c'était la seule fois qu'un OVNI avait été enregistré sur radar pendant une

durée de quelques 30 minutes. Et ils avaient toutes ces données à regarder...

Ce que je peux vous dire, c'est ce que j'ai vu de mes propres yeux. J'ai une cassette vidéo. J'ai la

cassette des enregistrements radio. J'ai les rapports qui ont été remplis qui confirmeront ce que je

vous dis. Et je suis un de ceux que vous appelez les"hauts officiels du gouvernement" dans la FAA.

J'étais Chef de Division. J'étais seulement trois ou quatre rangs après Amiral...

Page 44

Observation d'un trafic non-identifié par le vol 1628 de Japan Airlines

le 18 novembre 1986

BROUILLON

ANC ARTCC

Annexe 1 Index

Annexe 2 Chronologie des Evènements

Annexe 3 Transcription

Annexe 4 Graphique du plan de vol

Annexe 5 Rapports du personnel

Annexe 6 Rapport opérationnel quotidien, Formulaire de la FAA 7230-4

Annexe 7 Enregistrements de position, Formulaire FAA 7230-10

Annexe 8 Enregistrement Continu de Données ZAN EARTS (données de suivi

radar)

Page 45

Departement du Transport des USA

Administration Fédérale de l'Aviation

Memorandum

Anchorage ARTCC, Alaska

Date: 9 janvier 19??

Sujet: INFORMATION - Transcription concernant un incident impliquant le vol

1628 de Japan Airlines le 18 novembre 1986 à approximativement 0218 UTC

De: Quentin J. Gates,

Air Traffic Manager

ANC ARTCC

Cette transcription couvre la période entre le 18 novembre 1986 0214 UTC et

le 18 novembre 1986 0259 UTC.

Entités ayant effectué des transmissions

- Vol 1628 de Japan Airlines (JL1628)

- Secteur Combiné R/D15 de l'ARTCC d'Anchorage, Alaska (R/D15)

- Secteur D15 de l'ARTCC d'Anchorage (D15)

- Secteur R15 de l'ARTCC d'Anchorage (R15)

- Centre de Commande des Opérations Régionales (ROCC)

- Vol 69 de United Airlines (UA69)

- TOTEM71 (TOTEM71)

- Contrôle d'Approche de Fairbanks (APCH)

Je certifie par le présent memorandum que ce qui suit est une transcription

exacte des conversations entendues sur le présent sujet.

Anthony M. Wylie

"Quality Assurance Specialis"

ARTCC d'Anchorage

Page 46

Departement du Transport des USA

Administration Fédérale de l'Aviation

Memorandum

Date: 18 décembre 1986

Sujet: INFORMATION - Observation d'un trafic non-identifié par Japan

Airlines

De: Responsable du Trafic Aérien de l'ARTCC d'Anchorage, ZAN-1

A: Directeur - Division du Trafic Aérien, AAL-500

A l'attention de: Spécialiste de l'Evaluation, AAL-514

La chronologie ci-jointe résume les communications et actions du vol 1628

de Japan Airlines le 18 novembre 1986.

Les données radar enregistrées par le Centre d'Anchorage ne confirment pas

la présence d'un trafic tel que celui mentionné par le vol 1628. Aucune

autre information n'a été reçue de sources militaires ou civiles depuis ces

observations.

Le Major Johnson du Centre de Commande des Opérations Régionales

d'Elmendorf (ROCC) vérifie les enregistrements et se renseigne auprès des

membres du personnel opérationnel pour de plus amples détails. Il nous fera

parvenir, dès que possible, toute information supplémentaire en provenance

du centre d'Anchorage.

N'hésitez pas à contacter Tony Wylie, spécialiste assurance qualité, au

169-1162 si vous avez des questions ou désirez de plus amples informations.

Original signé par Quentin J. Gates

Page 47

Ce qui suit est un résumé chronologique des prétendues observations d'un

avion (plutôt un objet volant) par le vol 1628 de Japan Airlines le 18

novembre 1986.

Toutes les heures mentionnées sont des heures UTC approximatives, sauf

mention contraire.

0219 - Le pilote du JL1628 demanda une information sur le trafic aérien au

contrôleur du secteur ZAN-15. Quand le contrôleur lui renseigna qu'il n'y

avait pas de trafic dans les alentours, JL1628 répondit qu'il y avait un

trafic dans la même direction à approximativement 1 mile en face de lui, et

qu'il semblait être à leur altitude. Quand on lui a demandé de donner des

identifications de l'objet, le pilote a répondu qu'il ne pouvait voir que

des lumières blanches et jaunes.

0225 - ZAN contacta le ROCC et leur demanda si ils avaient reçu des retours

radars près de la position de JL1628. Le ROCC répondit qu'il recevait un

retour radar faible à la position 10 heures de JL1628 à 8 miles.

0227 - Le ROCC contacta ZAN pour lui signifier qu'il ne recevait plus de

retour radar dans le voisinage de JL1628.

0231 - JL1628 mentionna que "l'avion" était "assez grand", au moment-même

où le contrôleur de ZAN approuva les changements direction nécessaires afin

d'éviter le trafic.

0232 - JL1628 demanda et obtenu l'autorisation de descendre de palier FL350

à FL310. Quand on a demandé au pilote si l'objet volant descendait aussi,

le pilote répondit qu'il descendait "en formation".

0235 - JL1628 demanda et obtenu un changement de cap au deux un zéro (210).

L'avion était alors dans le voisinage de Fairbanks et le ZAN contacta le

Contrôle d'Approche de Fairbanks et leur demanda si ils avaient un retour

radar autour de JL1628. Le Contrôle de Fairbanks répondit qu'il n'avait

rien.

0236 - On demanda à JL1628 de faire un 360° et de dire si l'objet était

toujours avec lui.

0238 - Le ROCC appela ZAN et le renseigna qu'il avait confirmé un "vol de

deux" à la position de JL1628. Il mentionna qu'il avait "d'autres

équipements en train de voir ça", et que c'était seulement une cible

banale.

0239 - JL1628 dit à ZAN qu'il n'a plus l'objet en vue.

0242 - Le ROCC mentionne que c'est comme si l'objet avait basculé du côté

arrière droit de JL1628, bien qu'il ne puisse plus le suivre sur écran.

0244 - JL1628 avise que l'objet est maintenant à 9 heures.

0245 - Le ZAN demanda à un vol United Airlines situé plus au nord, et après

avoir discuté avec le pilote, de faire un virage de 10° afin de confirmer

l'objet.

0248 - JL1628 dit au ZAN que l'objet est maintenant à 7 heures, à une

distance de 8 miles.

Page 48

0250 - Le vol United Airlines situé au nord, mentionna qu'il avait le vol

Japan Airlines en vue, à contre-jour, et ne pouvait voir aucun autre

trafic.

0253 - JL1628 mentionna qu'il n'avait plus de contact visuel avec l'objet.

Une profonde analyse des données de suivi radar de l'ANC ARTCC ne révéla

aucune cible dans le voisinage proche de JL1628.

Page 49

RAPPORT DU PERSONNEL

ADMINISTRATION FEDERALE DE L'AVIATION

Centre de Contrôle du Trafic Aérien de la Route d'Anchorage

Ce qui suit est un rapport sur l'incident impliquant l'avion JL1628 le 18

novembre 1986 à 0230 UTC.

Mon nom est Carl E. Henley (HC), je suis employé par l'Administration

Fédérale de l'Aviation en tant que Spécialiste du Contrôle du Trafic Aérien

au Centre de Contrôle du Trafic Aérien de la Route d'Anchorage (ARTCC),

Alaska.

Durant la période entre le 17 novembre 1986 à 2030 UTC et le 18 novembre

1986 à 0430 UTC j'étais de service à l'ARTCC d'Anchorage. J'ai travaillé à

la position D15 du 18 novembre 1986 à 0156 UTC au 18 novembre 1986 à 0230

UTC.

A approximativement 0225Z, alors que je suivais JL1628 sur le radar du

secteur D15, l'appareil nous a demandé une information sur l'objet. Je lui

ai répondu qu'il n'y avait aucun objet dans ce voisinage. L'avion mentionna

qu'il y avait du trafic à 12 heures à la même altitude. J'ai demandé à

JL1628 si il voulait une altitude plus élevée ou plus basse et le pilote a

répondu négativement. J'ai vérifié avec le ROCC pour voir si ils avaient du

trafic militaire dans la zone et pour voir si ils avaient des cibles radar

dans cette zone. ROCC avait des cibles dans cette zone à la même position

rapportée par JL1628. Plusieurs fois, j'ai eu de brefs retour radars quand

JL1628 me mentionnait qu'il avait du trafic. JL1628 me demanda plus tard

pour pouvoir descendre à 210°, j'ai accepté les déviations nécessaires de

JL1628 afin de pouvoir éviter l'objet. L'objet est resté avec JL1628 tout

au long du virage et est descendu dans la zone de FAI, j'ai demandé à

JL1628 de faire un 360° pour voir si il pouvait identifier l'appareil, il

perdit le contact momentanément, à ce moment-là j'ai observé un contact

radar à la position 6 heures 5 miles. J'ai alors dirigé le vol UA69 situé

plus au nord, et après avoir reçu leur accord, vers Anchorage afin de

vérifier si ils pouvaient identifier l'appareil, mais il ne mentionèrent

aucun autre objet, à ce moment JL1628 avait perdu le contact avec l'objet.

De plus, un C-130 militaire situé plus au sud mentionna qu'il avait le

plein de carburant et qu'il pouvait aller jeter un coup d'oeil, je l'ai

dirigé vers le vol et l'ai fait monter à FL240, lui non plus n'avait pas de

contact.

Note: j'ai demandé à JL1628 de renseigner le type ou marquages l'appareil.

Il ne pouvait pas l'identifier mais rapporta qu'il voyait des lumières

blanches et jaunes. J'ai demandé à JL1628 de me donner les conditions de

vol et me répondit qu'il faisait clair et sans nuage.

Carl Henley

19 novembre 1986

Page 50

RAPPORT DU PERSONNEL

ADMINISTRATION FEDERALE DE L'AVIATION

Centre de Contrôle du Trafic Aérien de la Route d'Anchorage

9 janvier 1987

Ce qui suit est un rapport sur l'incident impliquant l'avion JL1628 le 18

novembre 1986 à 0218 UTC.

Mon nom est Samuel J. Rich (SR), je suis employé par l'Administration

Fédérale de l'Aviation en tant que Spécialiste du Contrôle du Trafic Aérien

au Centre de Contrôle du Trafic Aérien de la Route d'Anchorage (ARTCC),

Alaska.

Durant la période entre le 18 novembre 1986 à 0035 UTC et le 18 novembre

1986 à 0835 UTC j'étais de service à l'ARTCC d'Anchorage. J'ai travaillé à

la position D15 du 18 novembre 1986 à 0230 UTC au 18 novembre 1986 à 0530

UTC.

Je suis revenu de ma pause vers 0218 UTC pour relever Mr. Henley au secteur

R/D15. Durant la procédure pour relever Mr. Henley j'ai entendu le pilote

du JL1628 demander si nous avions du trafic près de sa position. J'ai

continué à suivre sur radar JL1628 pendant que Mr. Henley me donnait un

rapide briefing de la situation. J'ai suivi sur écran la situation pendant

approximativement 12 minutes pendant lesquelles j'ai supposé que la

position D15 et Mr. Henley avait bougé pour la position R15. Pendant la

période de 12 minutes, j'ai entendu le pilote de JL1628 rapporter que les

lumières étaient blanches et jaunes. Après que l'échelle du radar ait été

réduite à approximativement 20 miles j'ai observé un retour radar à la

position que le pilote avait mentionnée.

Après avoir déduit la position D15, j'ai appelé le ROCC à approximativement

0230 UTC pour demander si ils avaient du trafic aérien militaire en

opération près de JL1628. Le ROCC répondit qu'ils n'avaient aucune

opération militaire dans cette zone. Je leur ai alors demandé si ils

pouvaient voir du trafic près de JL1628. Le ROCC mentionna qu'ils n'avaient

aucun trafic près de JL1628 à la position où nous l'avions eu.

J'ai demandé au ROCC si ils avaient un appareil qui pouvait aller à la

rencontre de JL1628, ils me répondirent qu'ils me rappelleraient. Je n'ai

reçu aucune réponse à ma demande de vérification.

Samuel J. Rich

Spécialiste du Contrôle du Trafic Aérien

ARTCC Anchorage

Page 51

RAPPORT DU PERSONNEL

ADMINISTRATION FEDERALE DE L'AVIATION

Centre de Contrôle du Trafic Aérien de la Route d'Anchorage

9 janvier 1986 (??)

Ce qui suit est un rapport sur l'incident concernant le vol Japan Airlines

1628 (JL1628), au nord de Fairbanks, Alaska le 18 novembre 1986 à 0218 UTC.

Mon nom est John L. Aarnink (AA), je suis employé par l'Administration

Fédérale de l'Aviation en tant que Spécialiste du Contrôle du Trafic Aérien

au Centre de Contrôle du Trafic Aérien de la Route d'Anchorage (ARTCC),

Alaska. Durant la période entre le 17 novembre 1986 à 2230 UTC et le 18

novembre 1986 à 0630 UTC, j'étais de service à l'ARTCC d'Anchorage. J'ai

travaillé à la position C15 du 18 novembre 1986 à 0218 UTC au 18 novembre

1986 à 0250 UTC, approximativement.

J'étais en chemin pour prendre ma pause quand j'ai remarqué une activité

inhabituelle sur les positions du secteur 15. Je me suis branché sur la

position C15 et les ai assisté en répondant au téléphone avec le système

"mains libres" et en prenant les actions nécessaires. En ce qui concerne

spécifiquement l'incident, j'ai suivi sur écran les transmissions des

appareils et observé sur le radar que les informations coïncidaient avec

les informations que le pilote du JL1628 avaient rapportées. J'ai coordonné

avec le ROCC sur les lignes BRAVO et CHARLIE. Ils confirmèrent qu'ils

avaient aussi eu des données à la même position. Aux alentours de

l'intersection CAWIN, je n'ai plus eu les informations et le pilote

mentionna qu'il ne voyait plus le trafic. J'ai appelé le ROCC et ils

rapportèrent qu'ils avaient perdu la cible. Je me suis ensuite débranché de

la position et suis parti en pause.

John L. Aarnink

Spécialiste du Contrôle du Trafic Aérien

ARTCC d'Anchorage

Page 52

Sgt. Chuck Sorrells

US Air Force (retraité), décembre 2000

Chuck Sorrells était militaire de carrière de l'Air Force en poste à la base de l'Air Force d'Edwards en

1965 lorsque non pas un, mais au moins sept OVNI sont apparus au-dessus de celle-ci, bougeant de

manière extraordinaire à des vitesses énormes, faisant des virages à angle droit et d'autres

manoeuvres qu'aucun avion connu ne pouvait faire à l'époque. Ils sont apparus sur de multiples

radars, ont été observés visuellement par plusieurs personnes, et un officier spécial OVNI a autorisé

un jet à aller intercepter ces objets. Cet événement a duré cinq ou six heures. Une transcription éditée

de la cassette audio de cet événement

suit son témoignage.

M. Michael W. Smith

US Air Force, novembre 2000

Michael Smith était contrôleur aérien de l'Air Force dans l'Oregon et, de ce fait, au Michigan. Sur ces

deux installations, lui et d'autres ont été témoins d'OVNI pistés sur radar et bougeant à des vitesses

extraordinaires. Il confirme aussi que le personnel devait maintenir le secret concernant ces

observations, et que le NORAD, le North American Air Defense Command, était parfaitement au

courant de ces événements. En fait, lors d'un événement au Michigan, le NORAD était pleinement

engagé, et dirigeait des B-52 retournant à la base entourés d'OVNI.

Commandant Graham Bethune

US Navy (retraité), novembre 2000

Le Commandant Graham Bethune est un commandant pilote en retraite de la Navy avec une

autorisation top-secret. Il a été commandant d'un avion VIP qui transportait des officiers et des civils

de hauts rangs de Washington D.C. Dans son témoignage il explique qu'il transportait un groupe de

VIP et d'autres pilotes jusqu'à Argentia, Terre-Neuve, lorsqu'ils ont tous été témoins d'un OVNI de 300

pieds (100m, Ndt) qui a parcouru 10'000 pieds (3'000m, Ndt) tout droit en une fraction de seconde en

direction de leur avion et il était sur le radar. Il a abondamment documenté cet événement.

M. Enrique Kolbeck

Contrôleur aérien senior, octobre 2000

M. Enrique Kolbeck est contrôleur aérien à l'aéroport international de Mexico City. Dans son

témoignage, il parle des fréquentes observations d'OVNI qui sont observés visuellement sur radar. Ils

sont chronométrés à des vitesses énormes et ils font des virages en épingle à cheveux presque

instantanément. Sur les 140 contrôleurs aériens de l'aéroport, il estime que plus de 50 ont vu ces

phénomènes. Lors d'une observation, 32 contrôleurs ont simultanément vu la même lumière rouge et

blanche volant autour d'un avion conventionnel qui atterrissait. Il y a eu des rapports des quatre

centres de contrôle aérien à Mexico sur ces OVNI.

Dr Richard Haines

novembre 2000

Le Dr Haines a été chercheur scientifique de la NASA depuis le milieu des années 60. Il a travaillé sur

les programmes Gemini, Apollo et Skylab ainsi que sur d'autres. Pendant ces 30 dernières années, le

Dr Haines a compilé plus de 3'000 cas d'observations visuelles et radars inhabituelles de phénomènes

aériens inexpliqués. Il note que beaucoup de cas étrangers apparaissent aussi dans la littérature et

sont très similaire dans leur nature aux rapports américains. Dans un cas ici en Amérique, un

capitaine de B-52 lui a dit que lui et son équipage avaient vu cinq sphères apparaître juste à côté de

chaque bout d'aile, derrière leur avion, au-dessus et en dessous de celui-ci et elles l'ont accompagné

à son altitude et à sa vitesse de croisière. Le capitaine a essayé de faire fuir les sphères avec des

manoeuvres évasives mais chaque sphère a gardé sa position exacte. Il y a d'autres cas où des

pilotes ont regardé à travers la coupole transparente de certains OVNI et des détails ont été vu à

l'intérieur.

Page 53

M. Franklin Carter

US Navy, décembre 2000

M. Carter a été entraîné comme technicien radar électronique de la Navy dans les années 50 et 60. Il

parle d'un incident où il a été témoin d'un contact radar clair et non ambigu se déplaçant à la vitesse

de 3'400 miles par heure (5'500 km/h, Ndt). Il y avait d'autres opérateurs radars qui, plusieurs fois en

1957 et 1958, ont aussi été témoins de ces objets inhabituels volant vite. A cette époque, l'avion

terrestre le plus rapide atteignait 1'100 miles par heure (1'700 km/h, Ndt). Lors d'un cas, un opérateur

de l'Air Force a pisté un de ces OVNI jusqu'à 300 ou 400 miles dans l'espace (500 à 600 km, Ndt).

Lorsque ces rapports ont été connus de General Electric qui a construit le radar, leurs techniciens sont

arrivés et ont modifiés l'électronique de telle sorte que le radar ne porte plus qu'à 12 ou 15 miles dans

l'espace (20 à 25 km, Ndt).

Neil Daniels

Pilote de ligne, novembre 2000

M. Daniels est pilote avec plus de 30.000 heures de vol en 59 ans. Il a rejoint l'Air Force et est devenu

pilote de B-17, réalisant 29 missions de combat. Après avoir quitté l'Air Force, il travailla pour United

Airlines pendant 35 ans. Il parle de mars 1977, lorsqu'il volait sur un vol commercial de San Francisco

à Boston. L'avion était sur pilote automatique lorsque par lui-même il a commencé à virer à gauche. Il

a regardé à travers le hublot et a remarqué une lumière brillante. Le premier et le second officier l'ont

vue aussi. Ils étaient perplexes car les trois compas affichaient des indications différentes.

Sgt. Robert Blazina

Retraité, août 2000

M. Robert Blazina est militaire retraité avec une autorisation top-secret. Il transportait des armes

nucléaires tout autour du monde. Il a personnellement observé un OVNI manoeuvrant dans la nuit

claire à une vitesse incroyable. Une autre fois lui et un avion civil 747 ont tous les deux vu sur leurs

écrans radars un objet volant à environ 10'000 miles par heure (16.000 km/h, Ndt) directement sur

eux.

Lieutenant Frederick Marshall Fox

US Navy (retraité), septembre 2000

Le Lieutenant Fox était dans la Navy dans les années 60, pilotant des avions d'attaque. Il avait une

autorisation top-secret et a servi au Vietnam. Il est pilote retraité avec 33 ans de vol avec American

Airlines. Dans son témoignage, il révèle qu'il y a une publication appelée JANAP 146 E contenant une

section stipulant que personne ne doit partager des informations sur le phénomène OVNI sous peine

de 10'000 dollars d'amende et 10 ans de prison. Lors d'un incident fin 1964, alors qu'il volait un A4

Skyhawk, il raconte que soudain un objet sombre en forme de soucoupe d'environ 30 pieds (10m,

Ndt) de diamètre est apparu sur son côté gauche. Il y avait beaucoup d'autres événements pendant

sa carrière où il a observé des OVNI en forme de soucoupe et de cigare au-dessus d'installations

militaires, et une fois il a vu deux lumières rouges traverser le ciel nocturne d'horizon à horizon en trois

secondes. Il avait peur de rapporter ces événements à cause du ridicule inhérent au sujet.

Capitaine Massimo Poggi

septembre 2000

Le Capitaine Poggi est capitaine senior de 747 pour Alitalia. Il raconte un événement où, lorsqu'il

volait de Rome à Sao Paolo en juillet 1999, il a été témoin d'un halo vert éclatant montant dans les

airs juste 500 pieds (150m, Ndt) en dessous de son 747. L'avion a fait un saut lorsque l'OVNI est

passé en dessous. Beaucoup de bruit statique a résonné dans son casque durant cette expérience.

Une autre fois, lorsqu'il volait au-dessus de Turin en 1992, il a vu une sphère elliptique maintenant une

position statique par rapport aux nuages comme si elle était stationnaire. Il a vu cet OVNI sur son

scope (radar, Ndt). Après avoir regardé ailleurs pour parler brièvement à son copilote, il a de nouveau

regardé et c'était parti.

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Lt. Bob Walker

US Army, septembre 2000

Le Lieutenant Walker était second Lieutenant dans l'Army. Après la Seconde Guerre mondiale, lors

d'une journée "portes ouvertes" à la NASA (alors NACA), il a vu un engin en forme de soucoupe de 30

pieds (10m, Ndt) de diamètre qui avait été ramené d'Allemagne pour étude. Lors d'une autre occasion,

il pilotait un avion pour une station TV lorsqu'un objet en forme de disque est arrivé de l'ouest. Il avait

sa caméra et a grimpé à 12'000 pieds (4'000m, Ndt) pour prendre des photos de celui-ci. Après avoir

atterri, il a immédiatement fait développer et élargir les photos. L'objet s'est révélé être argenté en

forme de ballon de football avec des points à chaque extrémité. Son film a ensuite été pris dans des

circonstances inhabituelles. Dans son témoignage il parle aussi d'un dîner tard la nuit près de Fort

Campbell dans le Kentucky où il a entendu des conversations de MP (membres de la police militaire,

Ndt) faisant référence à une soucoupe volante qui avait atterri près d'une ferme et les MP étaient làbas

sécurisant la zone. Des créatures étaient présentes et elles ont été abattues par le fermier

apeuré.

M. Don Bockelman

US Army, septembre 2000

M. Bockelman était technicien électronique sur zone de lancement pour l'US Army. Il a aussi été

entraîné comme analyste de systèmes et a travaillé sur les missiles Nike Hercules. Pendant deux ans

il a travaillé pour Honeywell en fabriquant des torpilles à charge nucléaire. M. Bockelman a entendu

de nombreux témoignages de première main de la part d'opérateurs radars disant qu'ils voyaient des

cibles extrêmement rapides volant à 3'500 miles par heure (5'600 km/h, Ndt). Certaines de ces cibles

faisaient des virages impossibles. Une fois, il a été témoin d'une tentative de destruction d'une cible

avec un missile sol-air près de Mont Vernon, WA.

Contrôle Stratégique Aérien et Installations Nucléaires

Introduction

Cette section traite d'événements impliquant les OVNI et le "Strategic Air Command"

(Commandement Stratégique de l'Air, Ndt) au-dessus ou à proximité d'installations nucléaires.

J'aimerais souligner encore une fois que les témoins que nous avons ici sont diversifiés. Cela va de

gens de l'Atomic Energy Commission (Commission à l'Energie Atomique, Ndt) à des gens qui ont

travaillé sur des installations du "Strategic Air Command" et sur des installations de contrôle de

lancement de missiles aux Etats-Unis et au Canada. Ces témoins nous donnent des témoignages très

clairs sur le fait que ces véhicules extraterrestres semblent être assez concernés au sujet de nos

armes de destruction massive. Et en fait, plus d'un m'ont déclaré qu'ils pensaient que ces véhicules

extraterrestres étaient là parce-qu'ils étaient très concernés sur le fait que nous pouvions nous

détruire nous-mêmes, ou que nous pouvions commencer à aller dans l'espace et ainsi être une

menace un jour pour d'autres civilisations.

Je pense que c'est très important parce-que, bien qu'aucun de ces témoins ait déclaré qu'il y avait eu

des actions hostiles de la part de ces objets, il est bien clair qu'ils sont concernés par ce que nous

pourrions faire avec ces armes de destructions massives. Et ceci signifie quelque-chose de très

profond: nous avons atteint le point où le seul futur possible est celui de la paix. Ces armes sont trop

puissantes et les enjeux sont trop grands pour aller plus loin et envisager l'utilisation de ces armes.

Nous devons aller dans l'espace sans utiliser ces armes de notre arsenal contre n'importe quelle

forme de vie. Les civilisations extraterrestres, qui semblent surveiller notre activité et l'avoir fait depuis

des décennies, pourraient voir cela comme une de leur inquiétude majeure. Et il est très probable que

l'entrée dans la société interplanétaire exige la capacité d'un peuple à avancer dans l'espace

pacifiquement. Nous ne sommes pas en train de parler de mousquets, canons et sabres mais d'armes

thermonucléaires, d'armes laser pulsées et de technologies exotiques qui peuvent déchirer le tissu de

l'espace-temps. Cela doit être clair pour tous que le seul futur vivable est un futur pacifique. Cette paix

est le signe de la maturation de la race humaine.

Il est aussi possible que des personnes à l'intérieur de la structure nationale de commandement

militaire, aussi bien que l'appareil national de sécurité des Etats-Unis et d'autres pays, aient interprété

certaines actions de ces véhicules extraterrestres comme une violation de notre espace ou de notre

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souveraineté. Je pense que nous devons élargir notre champ de vision et considérer le fait que si

nous découvrions une planète qui, en l'espace de cent ans, était passée de la civilisation agraire à

une civilisation capable de faire ses premiers pas dans l'espace et qui avait des milliers d'engins

thermonucléaires capables de détruire des mondes, peut-être que nous serions aussi inquiets. Je

pense que nous devons commencer à nous regarder dans le miroir comme un peuple et nous

demander ce que nous devons faire pour assurer un futur pacifique à notre planète et aussi garantir

de conserver ces armes hors de l'espace pour toujours.

En discutant de ce sujet en relation avec les installations du "Strategic Air Command" et les

événements nucléaires, vous allez apprendre qu'à certaines occasions ces objets, qui ont stationné

au-dessus des installations de contrôle de lancement ou au-dessus des silos des missiles, ont été

capables de rendre inerte ces engins. Ils ont été capables de rendre inerte des missiles balistiques

intercontinentaux. Je ne pense pas que c'est un signe d'une quelconque hostilité de leur part, mais

une manière de dire: "S'il vous plait, ne détruisez pas cette belle planète; et sachez cela: nous ne vous

laisserons pas détruire la nôtre." Je pense qu'il est très important pour les gens de comprendre que de

telles actions ont cependant pu être mal interprétées par certaines autorités à l'intérieur de la "bouteille

du secret" et c'est quelque-chose auquel nous devons faire très attention en tant que civilisation. Que

se passe-t-il à l'intérieur de l'obscurité du secret? Le secret grossit sur lui-même, et cela crée un vide

de l'information où il n'y a pas d'échange avec des gens d'opinion différente ou avec des gens qui ont

une autre manière de vivre. Dans ce milieu, il est très facile d'accéder à la paranoïa et c'est un des

grands dangers inhérents au secret obsessif, le type de secret contre lequel le Président Eisenhower

nous a avertis en janvier 1961.

Capitaine Robert Salas

décembre 2000

Le capitaine Salas est diplômé de l'Air Force Academy et a passé sept ans en service actif de 1964 à

1971. Il a aussi travaillé à Martin Marietta et Rockwell et a passé 21 ans à la FAA (Federal Aviation

Administration, Ndt). Dans l'Air Force, il était contrôleur du trafic aérien et officier de lancement de

missiles aussi bien qu'ingénieur sur les missiles Titan 3. Il témoigne au sujet d'un incident OVNI le

matin du 16 mars 1967 où 16 missiles nucléaires sont simultanément devenus non-opérationnels à

deux installations de lancement différentes immédiatement après que les gardes aient vu des OVNI

stationnant au-dessus. Les gardes ne pouvaient pas identifier ces objets bien qu'ils étaient à

seulement 30 pieds (10m, Ndt) d'eux. L'Air Force fit une recherche approfondie sur les incidents et ne

put trouver de cause probable. A un débriefing sur l'incident, un officier de l'"Air Force Office of Special

Investigations" (Bureau des Investigations Spéciales de l'Air Force, Ndt) lui demanda de signer un

formulaire de non-divulgation et lui dit qu'il ne devait pas en parler à d'autres y compris sa famille ou

d'autres militaires. A un moment de Guerre Froide, lorsque des anomalies techniques mineures

étaient ouvertement communiquées parmi le staff, cet incident ne l'était pas et à partir de ce jour le

Capitaine Salas pensait que c'était très inhabituel.

...L'incident OVNI se passa le matin du 16 mars 1967. J'étais en service avec mon commandant Fred

Mywald. Nous étions les deux en service à "Oscar Flight" (les sites de lancement de missiles étant

divisés en plusieurs secteurs, Ndt) comme partie de la 490ème équipe de missile stratégique et il y

avait cinq installations de contrôle de lancement assignées à ce squadron (équipe, Ndt). Nous étions

à "Oscar Flight".

Il faisait encore nuit dehors et nous étions enterrés à 60 pieds (20m, Ndt) sous terre [à l'installation de

contrôle de lancement des ICBM]. C'était tôt le matin et j'ai reçu un appel téléphonique de mon garde

de sécurité qui était le contrôleur de sécurité du "flight" (secteur Oscar, Ndt) et il m'a dit que lui et

d'autres gardes étaient en train d'observer des étranges lumières volant autour du site et des

installations de contrôle de lancement. Il a dit qu'elles se comportaient très bizarrement en volant juste

autour, et j'ai dit: "tu veux dire OVNI?". Il a dit, bon, il ne savait pas ce qu'elles étaient mais c'était des

lumières et elles volaient par-là. Elles n'étaient pas des avions; elles ne faisaient aucun bruit. Elles

n'étaient pas des hélicoptères; elles faisaient de très étranges manoeuvres et il ne pouvait pas

l'expliquer...

Quelques minutes plus tard, peut-être une demi-heure, il a rappelé et cette fois il était très effrayé; je

pouvais dire par le ton de sa voix qu'il était très secoué. Il a dit: "Sir, il y a un objet rougeoyant qui

Publié dans projet révélation

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